Mai Lan TRAN
L'empreinte optique en implantologie
Séance 4B - samedi 14 janvier 16h30
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Il n’est plus besoin de présenter les implants dentaires. Ceux-ci ont largement fait leur preuve comme thérapeutique de remplacement d’une dent absente. Bien que les critères de succès ont incontestablement évolués depuis le Pr Branemark, et bien que l’exigence du praticien comme celle du patient n’ont fait qu’augmenter au fur et à mesure des années, il est aujourd’hui admis que la solution implantaire est une thérapeutique fiable chez l’édenté unitaire, partiel et complet.
L’empreinte optique est aujourd’hui presque aussi incontournable que les implants. Cette technologie numérique, qui s’impose petit à petit comme une alternative séduisante aux empreintes conventionnelles, présente de nombreux avantages. Non seulement elle permet un gain de temps et un gain d’ergonomie considérables mais son atout majeur serait sans doute de faciliter la communication entre tous les intervenants du traitement: le praticien, le patient et le prothésiste. A l’heure où l’exigence du patient n’a jamais été aussi forte, il est appréciable de trouver des moyens faciles, rapides et efficaces pour coordonner tous les acteurs du traitement implantaire. Et surtout, la littérature et les retours cliniques s’accordent à dire que l’empreinte optique est aussi précise, si ce n’est davantage, qu’une empreinte conventionnelle, qu’elle soit à l’alginate ou au silicone.
L’empreinte optique peut donc remplacer l’empreinte physique en dentisterie. Qu’en est il dans le domaine de l’ implantologie?
L’intérêt de cette présentation est de se pencher sur les multiples possibilités qu’offre l’empreinte optique spécifiquement à l’implantologie. Quels rôles ont ces informations numériques une fois l’empreinte optique acquise? En effet, il serait réducteur de dire que son utilisation ne s’arrête qu’ à la réalisation des prothèses d’usage. L’empreinte optique en implantologie va bien au delà et s’intègre parfaitement au flux numérique qui permet de suivre le patient tout au long de son traitement implantaire. Mais est-elle capable de remplacer les techniques conventionnelles dans la prise d’empreinte? Dans quelles indications cliniques peut-on l’appliquer? Existe-t-il des limites et si oui, quelles sont-elles?
Finalement, l’empreinte optique en implantologie: gadget bling bling ou outil numérique indispensable?
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Diplômée Chirurgien Dentiste à Paris V en 2009
Postgraduate temps plein de Comprehensive Dentistry à New York University de 2009 à 2010
Postgraduate temps plein d'Implant Dentistry à NYU 2010-2012
Attachée Bioteam avec Dr Tirlet de 2012 à 2016
Encadrante SAPO Implant avec Dr Cannas
Formatrice de l'Académie d'Implantologie avec les Drs Dagba et Mourlaas
Diverses conférences nationales et internationales.
Activité limitée à l'Implantologie et la Parodontologie
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